Mal et Rédemption, partie II : La Rédemption de Tous
La recherche d'un chemin dans la vie
Illustration : La rédemption du Diable, dont Flaubert rapporte qu'elle fait partie du Plan Divin.
Note au lecteur :
…pourquoi Flaubert ?
On pourrait se demander pourquoi Flaubert s’est révélé être, pour ainsi dire, une « voix d’autorité » ici et ailleurs dans mes écrits.
Je vais expliquer cela au lecteur, et très simplement, que tout le monde, même les idiots comme moi, peut comprendre assez facilement, et sans entrer dans beaucoup de détails.
Au début des Contes de Belzébuth à son petit-fils, Gurdjieff invoque Belzébuth lui-même, un démon d’une érudition et d’une réputation considérables, pour lui servir d’avatar pour les diverses idées qu’il expose. Il faut donc écouter tout ce qui est important (ou pas, et il y en a beaucoup) qu'il dit de la bouche d'un diable.
Belzébuth, une fois surmonté sa nature essentiellement perverse, se révèle finalement être un gars assez gentil.
Moi, je dis des choses importantes de la bouche d'un adorable petit chien blanc. Flaubert, contrairement au diable, n’a PAS une nature essentiellement mauvaise. Déjà un avantage de taille. De plus, contrairement à Belzébuth, qui a été nommé par un humain terrestre (Gurdjieff) pour lui servir de porte-parole, Flaubert a été nommé par Dieu et l'univers pour…
Eh bien, être FLAUBERT.
Et il semble évident qu’il vaut mieux être Flaubert – ou n’importe qui d’autre, d’ailleurs – plutôt que le diable.
Ah.
Alors, à décider si vous préférez écouter les choses dites par un démon ou par un adorable petit chien blanc en mission de Dieu.
Tellement difficile, hein ?
Suite à cela, nous pouvons commencer à examiner la question de la rédemption.
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